La déforestation dans le monde des douzes
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La déforestation dans le monde des douzes
Shuyu Ven 10 Juin - 13:44
Extrait du journal de Shuyu, Cratte et héroïne de son temps
9 Junidor 641.
La nuit est déjà tombée sur la forêt Amaknienne quand nous arrivons devant ce qui semble être une entrée de grotte. C'est le dragonnet de Mange-des-Troll qui, avec son flair légendaire, à déniché cette entrée parmi des broussailles et autres racines enchevêtrées. Une question se pose alors. Sommes nous à la hauteur ? Nous ne sommes que quatre, Mange-des-Trolls l'Osamodas et sa ménagerie portative, Drums, disciple d'Ecaflip, ainsi que moi, Shuyu, et ma fidèle compagne d'aventure, Happymeal. Mais à peine le temps de se poser cette question que déjà, des bouftous sont entrain de dégager l'entrée à grands coups de dents. En deux temps, trois mouvements, une entrée de dessine dans la base de ce qui semble être un grand Abraknyde figé par le temps. En un claquement de doigts, les bouftous rassasiés disparaissent dans un nuage de fumée.
« Et bien, allons-y » s'écrie Mange-des-Trolls.
C'est à la lueur d'une flamiche que nous sommes arrivés dans une sorte de salle. Les parois sont recouvertes d'écorce, blanchies par le temps. Happymeal, qui me suivait de près, visiblement peu rassurée, me fait remarquer que les broussailles ont déjà repoussées derrière nous. C'est probablement vrai, mais je n'ai pas le temps de vérifier, car devant nous, des abraknydes, l'air agressif, nous jaugent du regard. Craquement de branches terrible dans mon dos. Une dragodinde tiens en respect sous ses pattes un abraknyde, visiblement plus malin que les autres, car glissé derrière nous, pendant qu'une Osamodas prend un malin plaisir à lui assener des coups de bâton. Drums quant à lui, prépare un jeu de cartes, et, d'un signe de la tête, me fait signe que deux abraknydes me foncent dessus. Pas le temps de les éviter, ni de sortir la moindre flèche de mon carquois. Je ferme alors les yeux et me prépare au choc, quand j'entend « Mot de Protection ! ». Craquement de branche, grincement de bois, je retrouve mes deux ennemis affalés par terre. Je les contemple de ma bulle protectrice, invoquée par mon Eniripsa préférée, qui me sourit en tenant son lapino par l'oreille, qui semble visiblement agitée. Drums, accrochée sur une racine en hauteur, sa qualité féline l'aidant, arrose les ennemis restants à coups de cartes, qui explosent au contact du bois tortueux des abraknydes. Une horde de bouftous, menées par un craqueleur, apparaît alors et entreprend d'achever le peu d'ennemis restant debout. Aidées par mes flèches, qui brûlent étonnamment bien sur ces ennemis forestiers, il ne reste bientôt qu'un tas de sciures fumantes.
Après cette attaque surprise, nous déduisons que ces abraknydes, ne sont pas, à l'instar de leur compagnons qu'on peut trouver en pleine nature, des ennemis normaux. Après consultation dans le bestiaire emportées par Happymeal, nous apprenons que ce sont en réalité des abraknydes sombres, gardien d'une entité divine incarnée sous la forme d'un abraknyde, qui serait là depuis la création du monde Amaknien, et qu'il se ferait appelé, l'Abraknyde Ancestral. Lui même serait le gardien du Chêne Mou, protecteur de la forêt et de ses monstres.
Sachant à quoi nous attendre, nous nous enfonçons plus profond dans l'obscurité de l'abraknyde géant. Et niveau après niveau, nous exterminons les ennemis qui se dressent devant nous. Nous arrivons au quatrième niveau, et nous nous apprêtons à recasser du petit bois, quand quelque chose se mit à grésiller dans nos besaces. C'ést nos bworkyphones, petit appareil fait à partir de jeune bwork, qui, après un traitement magique, permet aux membres d'un groupe de se parler entre eux. A travers les interférences causées par la profondeur du lieu où nous nous trouvions, nous avons pu entendre la voie de notre Capitaine, Kwaak, qui hurle pour savoir ou nous sommes. Impossible de répondre et d'être compris dans ce foutu arbre. Mange-des-Trolls eu alors l'idée d'invoquer un tofu, et de lui faire porter un message. Après avoir convenu d'attendre notre Capitaine afin de continuer notre exploration forestière, Mange-des-Trolls revint sur ses pas, afin d'attendre Kwaak, car il était peu probable que notre Capitaine se sorte indemne de ces bestioles, conte tenu du nombre de celles-ci. Pendant ce temps, Drums eu une envie soudaine et irresistible de Bouftou Royal, et à l'aide d'une potion de rappel, sorti du donjon. Me voilà donc seule, en compagnie de ma plus fidèle servante, qui s'ést déjà attelé à soigner les blessures légères infligées par les branches acérées des abraknydes. Heureusement, les abraknydes sombres, et leurs sous-fifres, ne nous ont pas encore remarqués. Histoire d'être sure, j'invoque une cawotte, afin de nous rester à l'abri d'une attaque surprise. Comme il est tard, je décide de piquer un somme, pendant que l'Eniripsa monte la garde. Une heure plus tard, nous échangeons nos rôles.
J'allais attaquer mon 3ème tour de garde, quand, dans un silence des plus complet, Drums réapparaît derrière moi. En parfait félin, il a réussi à se glisser jusqu'ici sans se faire remarquer par la relève qui est venu, intriguée par une attaque aussi soudaine. Nous comparons nos différents chapeaux, quand j'entends la voie de notre Capitaine, hurlant à chaque coup de lame tranchant une branche. Peu après, nous voilà au complet, et nous fonçons tel des barbares sur les ennemis du quatrième niveau, qui n'ont pas le temps de dire « ouf » qu'ils se retrouvent découpés, mâchouillés, brulés, et éparpillés aux quatre coins de la salle. Kwaak nous montre fièrement son nouveau sabre, qui ne fait pas l'unanimité parmi les rangs. Visiblement vexé par les critiques qui fusent à l'encontre de son « Cure-dent » il prend les devant et descend la pente en quatrième vitesse afin de se jeter avec ardeur contre une énième garnison abraknienne.
Après avoir dérouillé cinq ou six stères de bois, ainsi que leur fidèles invocations arachnéenne, il se présente devant nous, l'Abraknyde Ancestral. Il est imposant, et son écorce a la même teinte que les bouleaux, d'un blanc très peu maculé. Prêt de lui se tienne deux énormes abraknes, sorte de croisement entre une araignée et un abra. Elle sont aussi sombres que leur chef est clair. Derrière se tient une garnison complètes d'abraknydes sombres visiblement beaucoup plus réveillés que leurs regrettés congénères. Dans un tournoiement de baton, Mange-des-Trolls se jette déjà sur le gardien divin. Une fois rems de ses émotions, après deux coups assénés avec une violence inouïe, le vieil arbre contre attaque avec une vivacité étonnante, et déplie deux de ses branches en direction de l'Osamodas, qui surpris par la vitesse d'exécution, ne peut éviter. Durant cet échange de coup, j'ai déjà commencé à décochés des flèches, qui explosent aux pieds d'une abrakne, visiblement agacée du torrent de flammes qui s'abat sur elle. La deuxième abrakne, que j'ai perdue de vue, vient d'asséner un coup fatal à Happymeal, qui s'effondre du haut de sa Dragodinde. Drums, qui avait voulu lui prêter main forte, se retrouve au prise avec deux abranydes sombres, qui semblent ne plus vouloir le lâcher. Malgré son agilité, reçue des mains d'Ecaflip en personne,il ne peut éviter la multitude de branches sortant de ces deux troncs vivants. Il finit par être touché, et c'est le moment que choisi l'abrakne que j'arrose, pour jeter ses crochets de bois sur le pauvre félin. Sous la violence et le nombre des coups, il finit par succomber lui aussi. Quant à notre cher Capitaine, il s'est retranché au fond de la salle, et nous regarde combattre cette armée. L'abrakne, après avoir fait tomber, deux des nôtres, se lance dans une course dans ma direction. Alors qu'elle se rapproche, recevant toujours multitude de flèches de ma part, un bouftou apparaît sur sa route. Elle s'écrase contre la laine blanche et moelleuse de l'ovin, qui semble à peine dérangé par la puissance du contact. Au contraire, lui fesant face, il cale ses cornes sur ses crochets, l'empêchant ainsi de pouvoir attaquer. Je remercie Mange-des-Trolls pour cette invocation rondement menée, et m'attelle à éliminer l'abaraknyde ancestral, qui semble plutôt coriace. Au vues des craquelures courant le long de son écorce, il à déjà ramassé une bonne raclée, mais il est toujours debout, plus déterminé que jamais à en découdre. Après avoir éliminé les abrakyndes sombres qui restait, aidée par le sabre de mon capitaine, qui s'est découvert une passion pour la découpe du bois, je décoche une salve de flèches en direction du gardien, qui, les voyant arriver, détacha son attention de l'osamodas. Elle en profita pour lui assener une série de coups de bâton, et celle ci fut fatale. Il tituba, et s'effondra dans un grincement épouvantable. L'abrakne, bloquée par le bouftou, sentit que c'était la fin, et tenta une fuite. C'était sans compter sur un le carquois complet que je lui destina, et elle tomba à son tour. Il ne semble plus rester âme qui vive, et notre Capitaine s'apprête à capturer les esprits des monstres présents, mais un abraknyde sombre, caché derrière un amas de mousse, est encore là. Il tente une attaque, rapidement bloquée, par une flèche, qui le fait reculer derrière sa cache. Mange-des-Trolls en profite pour ramener à la vie le félin et la fée. Happymeal, se met au travail tout de suite et commence à soigner le groupe, qui à quand même subit des dégâts, au vue des coupures que chacun a sur le visage et sur le corps. Drums à repéré une invocation, lancée sournoisement par l'abraknyde pendant ce temps mort, et dans une acrobatie improbable, l'écrase au sol alors qu'elle s'apprêtait à fondre sur l'Osamodas. Notre capitaine, maintenant flambant neuf, après les soins prodigués par L'Eniripsa, se prépare a capturer les âmes, sa pierre de capture à la main. Après un soin général, nous nous décidons à en finir une bonne fois pour toute, et c'est une escadrille de corbeaux, qui s'abat sur la dernière créature vivante, achevant ainsi le groupe. A peine l'abraknyde tombé, un halo de lumière apparaît, baignant la salle dans une lueur bleutée. Une véritable tempête se lève, et Kwaak se retrouve en lévitation au dessus de sa pierre. Le Iop marmonne des paroles incompréhensibles, les yeux dans le vide, et bientôt, nous voyons les âmes des monstres tués sortir de terre. Les spectres se retrouvent maintenant ballotés par le vent qui règne içi, et après une explosion de puissance magique, sont hapés par la pierre. La salle retombe dans sa pénombre habituelle, alors que notre capitaine retrouve le plancher des vaches, visiblement éprouvé par cette incantation.
Une sortie s'est dessiné dans l'écorce de l'arbre millénaire, et nous l'empruntons. Bientôt, nous voyons de la lumière au bout du tunnel tortueux que nous traversons. Quelques minutes plus tard, nous voilà dehors, baignée par la lumière de la lune. Fatiguée par ce combat mémorable, je décide d'aller me couchée, et nous nous donnons rendez-vous à la taverne d'amakna le lendemain, afin de célébrer cette victoire.
La nuit est déjà tombée sur la forêt Amaknienne quand nous arrivons devant ce qui semble être une entrée de grotte. C'est le dragonnet de Mange-des-Troll qui, avec son flair légendaire, à déniché cette entrée parmi des broussailles et autres racines enchevêtrées. Une question se pose alors. Sommes nous à la hauteur ? Nous ne sommes que quatre, Mange-des-Trolls l'Osamodas et sa ménagerie portative, Drums, disciple d'Ecaflip, ainsi que moi, Shuyu, et ma fidèle compagne d'aventure, Happymeal. Mais à peine le temps de se poser cette question que déjà, des bouftous sont entrain de dégager l'entrée à grands coups de dents. En deux temps, trois mouvements, une entrée de dessine dans la base de ce qui semble être un grand Abraknyde figé par le temps. En un claquement de doigts, les bouftous rassasiés disparaissent dans un nuage de fumée.
« Et bien, allons-y » s'écrie Mange-des-Trolls.
C'est à la lueur d'une flamiche que nous sommes arrivés dans une sorte de salle. Les parois sont recouvertes d'écorce, blanchies par le temps. Happymeal, qui me suivait de près, visiblement peu rassurée, me fait remarquer que les broussailles ont déjà repoussées derrière nous. C'est probablement vrai, mais je n'ai pas le temps de vérifier, car devant nous, des abraknydes, l'air agressif, nous jaugent du regard. Craquement de branches terrible dans mon dos. Une dragodinde tiens en respect sous ses pattes un abraknyde, visiblement plus malin que les autres, car glissé derrière nous, pendant qu'une Osamodas prend un malin plaisir à lui assener des coups de bâton. Drums quant à lui, prépare un jeu de cartes, et, d'un signe de la tête, me fait signe que deux abraknydes me foncent dessus. Pas le temps de les éviter, ni de sortir la moindre flèche de mon carquois. Je ferme alors les yeux et me prépare au choc, quand j'entend « Mot de Protection ! ». Craquement de branche, grincement de bois, je retrouve mes deux ennemis affalés par terre. Je les contemple de ma bulle protectrice, invoquée par mon Eniripsa préférée, qui me sourit en tenant son lapino par l'oreille, qui semble visiblement agitée. Drums, accrochée sur une racine en hauteur, sa qualité féline l'aidant, arrose les ennemis restants à coups de cartes, qui explosent au contact du bois tortueux des abraknydes. Une horde de bouftous, menées par un craqueleur, apparaît alors et entreprend d'achever le peu d'ennemis restant debout. Aidées par mes flèches, qui brûlent étonnamment bien sur ces ennemis forestiers, il ne reste bientôt qu'un tas de sciures fumantes.
Après cette attaque surprise, nous déduisons que ces abraknydes, ne sont pas, à l'instar de leur compagnons qu'on peut trouver en pleine nature, des ennemis normaux. Après consultation dans le bestiaire emportées par Happymeal, nous apprenons que ce sont en réalité des abraknydes sombres, gardien d'une entité divine incarnée sous la forme d'un abraknyde, qui serait là depuis la création du monde Amaknien, et qu'il se ferait appelé, l'Abraknyde Ancestral. Lui même serait le gardien du Chêne Mou, protecteur de la forêt et de ses monstres.
Sachant à quoi nous attendre, nous nous enfonçons plus profond dans l'obscurité de l'abraknyde géant. Et niveau après niveau, nous exterminons les ennemis qui se dressent devant nous. Nous arrivons au quatrième niveau, et nous nous apprêtons à recasser du petit bois, quand quelque chose se mit à grésiller dans nos besaces. C'ést nos bworkyphones, petit appareil fait à partir de jeune bwork, qui, après un traitement magique, permet aux membres d'un groupe de se parler entre eux. A travers les interférences causées par la profondeur du lieu où nous nous trouvions, nous avons pu entendre la voie de notre Capitaine, Kwaak, qui hurle pour savoir ou nous sommes. Impossible de répondre et d'être compris dans ce foutu arbre. Mange-des-Trolls eu alors l'idée d'invoquer un tofu, et de lui faire porter un message. Après avoir convenu d'attendre notre Capitaine afin de continuer notre exploration forestière, Mange-des-Trolls revint sur ses pas, afin d'attendre Kwaak, car il était peu probable que notre Capitaine se sorte indemne de ces bestioles, conte tenu du nombre de celles-ci. Pendant ce temps, Drums eu une envie soudaine et irresistible de Bouftou Royal, et à l'aide d'une potion de rappel, sorti du donjon. Me voilà donc seule, en compagnie de ma plus fidèle servante, qui s'ést déjà attelé à soigner les blessures légères infligées par les branches acérées des abraknydes. Heureusement, les abraknydes sombres, et leurs sous-fifres, ne nous ont pas encore remarqués. Histoire d'être sure, j'invoque une cawotte, afin de nous rester à l'abri d'une attaque surprise. Comme il est tard, je décide de piquer un somme, pendant que l'Eniripsa monte la garde. Une heure plus tard, nous échangeons nos rôles.
J'allais attaquer mon 3ème tour de garde, quand, dans un silence des plus complet, Drums réapparaît derrière moi. En parfait félin, il a réussi à se glisser jusqu'ici sans se faire remarquer par la relève qui est venu, intriguée par une attaque aussi soudaine. Nous comparons nos différents chapeaux, quand j'entends la voie de notre Capitaine, hurlant à chaque coup de lame tranchant une branche. Peu après, nous voilà au complet, et nous fonçons tel des barbares sur les ennemis du quatrième niveau, qui n'ont pas le temps de dire « ouf » qu'ils se retrouvent découpés, mâchouillés, brulés, et éparpillés aux quatre coins de la salle. Kwaak nous montre fièrement son nouveau sabre, qui ne fait pas l'unanimité parmi les rangs. Visiblement vexé par les critiques qui fusent à l'encontre de son « Cure-dent » il prend les devant et descend la pente en quatrième vitesse afin de se jeter avec ardeur contre une énième garnison abraknienne.
Après avoir dérouillé cinq ou six stères de bois, ainsi que leur fidèles invocations arachnéenne, il se présente devant nous, l'Abraknyde Ancestral. Il est imposant, et son écorce a la même teinte que les bouleaux, d'un blanc très peu maculé. Prêt de lui se tienne deux énormes abraknes, sorte de croisement entre une araignée et un abra. Elle sont aussi sombres que leur chef est clair. Derrière se tient une garnison complètes d'abraknydes sombres visiblement beaucoup plus réveillés que leurs regrettés congénères. Dans un tournoiement de baton, Mange-des-Trolls se jette déjà sur le gardien divin. Une fois rems de ses émotions, après deux coups assénés avec une violence inouïe, le vieil arbre contre attaque avec une vivacité étonnante, et déplie deux de ses branches en direction de l'Osamodas, qui surpris par la vitesse d'exécution, ne peut éviter. Durant cet échange de coup, j'ai déjà commencé à décochés des flèches, qui explosent aux pieds d'une abrakne, visiblement agacée du torrent de flammes qui s'abat sur elle. La deuxième abrakne, que j'ai perdue de vue, vient d'asséner un coup fatal à Happymeal, qui s'effondre du haut de sa Dragodinde. Drums, qui avait voulu lui prêter main forte, se retrouve au prise avec deux abranydes sombres, qui semblent ne plus vouloir le lâcher. Malgré son agilité, reçue des mains d'Ecaflip en personne,il ne peut éviter la multitude de branches sortant de ces deux troncs vivants. Il finit par être touché, et c'est le moment que choisi l'abrakne que j'arrose, pour jeter ses crochets de bois sur le pauvre félin. Sous la violence et le nombre des coups, il finit par succomber lui aussi. Quant à notre cher Capitaine, il s'est retranché au fond de la salle, et nous regarde combattre cette armée. L'abrakne, après avoir fait tomber, deux des nôtres, se lance dans une course dans ma direction. Alors qu'elle se rapproche, recevant toujours multitude de flèches de ma part, un bouftou apparaît sur sa route. Elle s'écrase contre la laine blanche et moelleuse de l'ovin, qui semble à peine dérangé par la puissance du contact. Au contraire, lui fesant face, il cale ses cornes sur ses crochets, l'empêchant ainsi de pouvoir attaquer. Je remercie Mange-des-Trolls pour cette invocation rondement menée, et m'attelle à éliminer l'abaraknyde ancestral, qui semble plutôt coriace. Au vues des craquelures courant le long de son écorce, il à déjà ramassé une bonne raclée, mais il est toujours debout, plus déterminé que jamais à en découdre. Après avoir éliminé les abrakyndes sombres qui restait, aidée par le sabre de mon capitaine, qui s'est découvert une passion pour la découpe du bois, je décoche une salve de flèches en direction du gardien, qui, les voyant arriver, détacha son attention de l'osamodas. Elle en profita pour lui assener une série de coups de bâton, et celle ci fut fatale. Il tituba, et s'effondra dans un grincement épouvantable. L'abrakne, bloquée par le bouftou, sentit que c'était la fin, et tenta une fuite. C'était sans compter sur un le carquois complet que je lui destina, et elle tomba à son tour. Il ne semble plus rester âme qui vive, et notre Capitaine s'apprête à capturer les esprits des monstres présents, mais un abraknyde sombre, caché derrière un amas de mousse, est encore là. Il tente une attaque, rapidement bloquée, par une flèche, qui le fait reculer derrière sa cache. Mange-des-Trolls en profite pour ramener à la vie le félin et la fée. Happymeal, se met au travail tout de suite et commence à soigner le groupe, qui à quand même subit des dégâts, au vue des coupures que chacun a sur le visage et sur le corps. Drums à repéré une invocation, lancée sournoisement par l'abraknyde pendant ce temps mort, et dans une acrobatie improbable, l'écrase au sol alors qu'elle s'apprêtait à fondre sur l'Osamodas. Notre capitaine, maintenant flambant neuf, après les soins prodigués par L'Eniripsa, se prépare a capturer les âmes, sa pierre de capture à la main. Après un soin général, nous nous décidons à en finir une bonne fois pour toute, et c'est une escadrille de corbeaux, qui s'abat sur la dernière créature vivante, achevant ainsi le groupe. A peine l'abraknyde tombé, un halo de lumière apparaît, baignant la salle dans une lueur bleutée. Une véritable tempête se lève, et Kwaak se retrouve en lévitation au dessus de sa pierre. Le Iop marmonne des paroles incompréhensibles, les yeux dans le vide, et bientôt, nous voyons les âmes des monstres tués sortir de terre. Les spectres se retrouvent maintenant ballotés par le vent qui règne içi, et après une explosion de puissance magique, sont hapés par la pierre. La salle retombe dans sa pénombre habituelle, alors que notre capitaine retrouve le plancher des vaches, visiblement éprouvé par cette incantation.
Une sortie s'est dessiné dans l'écorce de l'arbre millénaire, et nous l'empruntons. Bientôt, nous voyons de la lumière au bout du tunnel tortueux que nous traversons. Quelques minutes plus tard, nous voilà dehors, baignée par la lumière de la lune. Fatiguée par ce combat mémorable, je décide d'aller me couchée, et nous nous donnons rendez-vous à la taverne d'amakna le lendemain, afin de célébrer cette victoire.
Alors voilà, j'ai pas pris le temps de me relire, donc pas taper si y'a des fautes. J'ai éviter les dialogues, car je ne peux pas faire parler les personnages selon leur propres personnalités, étant donné que c'est pas moi qui les joue. J'ai également essayé de repartir les rôles en combat en suivant ce qui c'était vraiment passé. Mais comme c'est vu par l'oeil de ma cratte, je suis obligée de la mettre plus au centre que les autres. Surtout, dîtes moi ce qu'il y'a a amélioré, car je pense pas que ce soit parfait. Et je suis désolée d'avance si je n'ai pas retranscris les actions d'un personnage à sa juste valeur. Pour ma défense, j'ai écris en écoutant du Gogol Bordello, donc ça aide pas à être au maximum de sa concentration =). Sur ce, a plus tard IG
Dernière édition par Shuyu le Ven 10 Juin - 22:33, édité 1 fois
Shuyu- Messages : 56
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Re: La déforestation dans le monde des douzes
Mange-des-Trolls Ven 10 Juin - 14:19
Très beau récit, ça donne envie de repartir en donjon ! 
Sinon je vois pas trop de choses à modifier, en effet tu t'es peut être un peu trompée en mélangeant les actions de certains personnages mais on t'en tiendra pas rigueur, au vus du nombres d'actions effectuées c'est normal de pas se souvenir de tout. Par ailleurs, c'est plus intéressant quand tout les personnage participent aux péripéties, ça rend l'action plus épique ^^
Sinon je vois pas trop de choses à modifier, en effet tu t'es peut être un peu trompée en mélangeant les actions de certains personnages mais on t'en tiendra pas rigueur, au vus du nombres d'actions effectuées c'est normal de pas se souvenir de tout. Par ailleurs, c'est plus intéressant quand tout les personnage participent aux péripéties, ça rend l'action plus épique ^^
Mange-des-Trolls- Messages : 28
Date d'inscription : 08/06/2011
Age : 36
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Re: La déforestation dans le monde des douzes
Loutron Ven 10 Juin - 20:04
C'est frais ! Sa donne envie de lire jusqu'au bout. Continue comme sa
Loutron- Messages : 5
Date d'inscription : 09/06/2011
Re: La déforestation dans le monde des douzes
Mange-des-Trolls Ven 10 Juin - 21:26
Tiens je viens de remarquer une erreur dans l'intitulé de ton post, il s'agit bel est bien du monde des douze, l'apparition des deux nouvelles classes n'a pas perturbé le panthéon des dieux.
Au terme d'un effroyable combat, Sadida scella l'âme d'un monstre surpuissant dans des masques. Puis ces masque furent un jour retrouvés, et tout les gens qui portèrent l'un de ces masques maudits furent impregné d'une partie du pouvoir de la Bête, les Zobals sont ainsi nés.
Quant aux roublards, ils sont à l'origine un clan de bandits crée par Raval et ce dernier fut assassiné par Sram afin de prendre sa place.
Voila pour la ptite histoire l'origine de ces deux nouvelles classes.
Au terme d'un effroyable combat, Sadida scella l'âme d'un monstre surpuissant dans des masques. Puis ces masque furent un jour retrouvés, et tout les gens qui portèrent l'un de ces masques maudits furent impregné d'une partie du pouvoir de la Bête, les Zobals sont ainsi nés.
Quant aux roublards, ils sont à l'origine un clan de bandits crée par Raval et ce dernier fut assassiné par Sram afin de prendre sa place.
Voila pour la ptite histoire l'origine de ces deux nouvelles classes.
Dernière édition par Mange-des-Trolls le Ven 10 Juin - 23:11, édité 1 fois
Mange-des-Trolls- Messages : 28
Date d'inscription : 08/06/2011
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Re: La déforestation dans le monde des douzes
Shuyu Ven 10 Juin - 22:31
Ah ? Vois-tu je ne m'étais pas du tout renseignée a propos de ces deux nouvelles classes. Merci d'avoir éclairer ma lanterne à ce sujet. En en passant, je trouve dommage que ces nouvelles classes ne portent pas de nom semblables aux classe déjà en place. Du genre quelque chose qui les qualifie, mais écris a l'envers. Parce que Zobal, je ne vois pas, et Roublard, les devs se sont vraiment pas foulés. Ankama ne se bonifie pas avec le temps, et c'est bien dommage.
Shuyu- Messages : 56
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Re: La déforestation dans le monde des douzes
Mange-des-Trolls Ven 10 Juin - 23:07
Ben c'est sûr que pour les roublards, le nom est pas très recherché ni très fantaisie, il se sont contenté de rendre jouable des pnj du jeu, sans pousser très loin le background de la classe.
Mais j'ai remarqué un jeu de mot avec les Zobals, si tu dis le nom de la classe suivi le l'élément que tu joues. Un jour je discutais dofus avec un pote et ma copine m'a regardé avec de grands yeux ronds quand j'ai dit je j'avais testé un Zobal air ^^ ( un zob à l'air) , et ce jeu de mollets marche avec chaque élément que le zobal peut jouer (zob à l'eau, zob altère). Qui a dit que les devs étaient des kikitoudurs? x)
Mais j'ai remarqué un jeu de mot avec les Zobals, si tu dis le nom de la classe suivi le l'élément que tu joues. Un jour je discutais dofus avec un pote et ma copine m'a regardé avec de grands yeux ronds quand j'ai dit je j'avais testé un Zobal air ^^ ( un zob à l'air) , et ce jeu de mollets marche avec chaque élément que le zobal peut jouer (zob à l'eau, zob altère). Qui a dit que les devs étaient des kikitoudurs? x)
Mange-des-Trolls- Messages : 28
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Re: La déforestation dans le monde des douzes
Kwaak Sam 11 Juin - 12:26
je l'avais pas vu, et je le découvre, avec grande joie, en me levant. Vraiment super rp ! juste fais gaffe, t'as des expressions à moitiés écrites, et ça fait bizarre. par exemple, on ne peut pas dire "que très peu maculé", quand on utilise le mot "maculé" il faut dire par quoi ça l'est. "maculé" ça peut se traduire par "tâché par ..." et non pas par juste "tâché"
ou aussi, quand on met un 'ç' à "ici" il me semble que c'est que dans l'expression "içi et là" mais j'en susi pas sûr
bref, c'était pour moi le seul truc à rectifier
ou aussi, quand on met un 'ç' à "ici" il me semble que c'est que dans l'expression "içi et là" mais j'en susi pas sûr
bref, c'était pour moi le seul truc à rectifier
Kwaak- Admin
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Re: La déforestation dans le monde des douzes
Shuyu Sam 11 Juin - 15:00
Pour ce qui du mot "içi" les deux orthographes sont correctes.
Pour l'expression que tu cites, je suis pas d'accord, car maculé est utilisé içi comme un adjectif, donc il n'est pas obligatoire d'ajouter un complément. J'en suis certaine, je suis tombé sur cette expression dans un bouquin, je ne saurais me rappeler lequel.
Pour l'expression que tu cites, je suis pas d'accord, car maculé est utilisé içi comme un adjectif, donc il n'est pas obligatoire d'ajouter un complément. J'en suis certaine, je suis tombé sur cette expression dans un bouquin, je ne saurais me rappeler lequel.
Shuyu- Messages : 56
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Re: La déforestation dans le monde des douzes
Kwaak Sam 11 Juin - 19:36
au temps pour moi
pour "içi" merci, je savais pas
pour "içi" merci, je savais pas
Kwaak- Admin
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Re: La déforestation dans le monde des douzes
Shuyu Sam 11 Juin - 21:29
Merci Kwaak, tu viens de m'apprendre quelque chose, sans le vouloir.
J'étais persuadée qu'on écrivait "autant pour moi", mais après une recherche sur wikipedia, je viens de m’apercevoir que la façon dont tu l'écris à l'air beaucoup plus juste que la mienne.
Merci encore =)
J'étais persuadée qu'on écrivait "autant pour moi", mais après une recherche sur wikipedia, je viens de m’apercevoir que la façon dont tu l'écris à l'air beaucoup plus juste que la mienne.
Merci encore =)
Shuyu- Messages : 56
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Re: La déforestation dans le monde des douzes
Kwaak Sam 11 Juin - 22:49
Shuyu a écrit:Merci Kwaak, tu viens de m'apprendre quelque chose, sans le vouloir.
J'étais persuadée qu'on écrivait "autant pour moi", mais après une recherche sur wikipedia, je viens de m’apercevoir que la façon dont tu l'écris à l'air beaucoup plus juste que la mienne.
Merci encore =)
De rien ^^ Y a pleins pleins de gens qui pensent que c'est "autant", et sans recherche sur le lien, ou sans leur balancer un lien dans la face, ils sont très durs à convaincre. Certes, "autant" existe, mais c'est plus faux qu'autre chose ^^
Kwaak- Admin
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